Le minimalisme appliqué à son entreprise : la joie de posséder moins pour vivre plus

Comment j’applique le minimalisme, cet art de vivre à mon entreprise et comment il transforme mes pratiques et m’amène plus de joie d’alignement et de résultats.

Tu entres dans une maison chaleureuse, presque vide. Il n’y a rien dans la grande pièce sauf une table, une chaise et sur la table, les outils et le matériel pour exercer ton activité préférée, une des choses que tu préfères faire.

Quelle est ton envie, ta passion, ce que tu garderais quand tout le reste a disparu ?

Que trouves-tu sur cette table ?

Cette visualisation est un exercice que je peux proposer à mes clientes quand nous travaillons sur ce qui les fait vibrer.

Je l’aime aussi car il permet de comprendre que le superflu, le trop plein, l’accumulation de matériel mais aussi d’expériences peut nous détourner de ce que nous aimons vraiment, de nous connecter à ce qui nous éclate, nous fait nous sentir vivante ! Cela nous aide alors à rester motivé sur le long terme et créer l’entreprise dont nous rêvons !

Je pratique le minimalisme depuis peu. Et je me redécouvre.

Je le définirai comme ceci : le minimalisme, c’est faire de la place dans sa vie pour se concentrer sur l’essentiel, vider les placards et ne garder que le minimum pour laisser de l’espace à l’essentiel : au feu, à la créativité, à la joie.

Je l’applique dans ma vie mais aussi dans mon entreprise.

Alors comment le minimalisme a épuré ma vie et mon activité professionnelle pour plus de joie et d’efficacité ?

Les choses que l’on accumule, les choses que l’on garde, celles à lesquelles on s’accroche

Depuis une année, j’ai déménagé dans un appartement aux proportions largement réduite comparé à mes anciennes habitations. Ces dernières années, j’habitais dans de très grandes maisons, à la campagne et j’ai pu amasser tout un tas d’affaires. J’ouvrais des portes sur certaines pièces, où je n’allais jamais mais étaient pleines de trucs dont je ne me servais jamais.

J’accumulais, je gardais, je stockais. 

Au cas où… Ça peut servir…

Les déménagements furent épiques. J’en ai même eu la nausée. Toutes ces affaires !

Devant l’énorme camion rempli, j’ai eu envie d’aller tout débarrasser à la déchetterie.

Depuis plus d’un an, dans mon petit appartement, je m’attache à trier, vider tout ce qui n’est ni nécessaire, ni essentiel. Je fais le ménage des affaires qui m’encombrent régulièrement, une habitude qui vient purifier, vider mon espace et mon esprit.

Je me sens revenir vers mes années d’étudiante, où il y avait une inconscience, une légèreté que j’ai perdue.

Cela permet de se sentir plus libre. Rien ne me manque vraiment.

En ce qui concerne mon entreprise, je fais la même chose. Je m’attache à épurer tout ce qui est superflu, non nécessaire. La to do-list à rallonge ? Non, merci. Ce qui n’est ni important, ni urgent, je choisis de le laisser et de ne pas le faire. Cela m’allège l’esprit sans culpabiliser.

Je ne peux pas tout faire et il y a des choses clairement inutiles alors j’arrête de me prendre pour superwoman et je me focalise sur ce qui compte.

Je dis non plus facilement. Comme je me concentre sur l’essentiel, je ne veux plus m’éparpiller avec 10 projets en même temps.

L’art de trouver des solutions

Mais avoir moins, c’est aussi se débrouiller, faire marcher sa matière grise. Tout comme au début de son entreprise quand on n’a pas de budget mais des milliers d’idées et de la motivation à déplacer des montagnes !

L’infiniment peu : une grande liberté !

Un de mes souvenirs les plus exaltants est quand j’ai voyagé en Asie avec un sac à dos relativement léger, ne comportant que l’essentiel. Quelques kilos qui comportaient mon matériel pour peindre, deux tenues, une petite trousse de toilette, et mon ordinateur compact. Je ne me suis jamais sentie aussi libre !

S’alléger du matériel, c’est aussi faire de la place pour accueillir autre chose, moins concret parfois, pour laisser entrer dans nos vies, ce à quoi nous aspirons.

Renoncer à ses possessions, c’est accepter de vivre d’autres choses plus intenses, plus vivantes au niveau des émotions, du cœur, de la vie immatérielle et spirituelle. Ce n’est pas pour rien que beaucoup de moines ou de pratiquants chevronnés de certaines religions choisissent de ne rien posséder ou très peu.

Avoir moins et être plus. Aller à l’essentiel, se recentrer sur ce qui te fait vibrer et supprimer tout le reste.

Ces principes, je les applique aussi dans mon activité professionnelle et dans mes accompagnements. Enlever tout le superflu pour se concentrer sur l’essentiel. Donner juste ce qui est important, pertinent, ne pas surcharger afin d’être réellement pertinent et d’avoir un impact démultiplié…

Si cela te parle et que tu aimerais avoir plus d’informations sur les accompagnements et ma méthode, n’hésite pas à réserver ta session découverte, un appel d’une heure qui permet de faire le point sur ta communication et de discuter afin de voir si nos envies s’accordent !

Pour résumer et dépasser mes expériences personnelles, implémenter le minimalisme dans tes pratiques et dans ton activité professionnelle, c’est bien plus que de nettoyer ton bureau et de vider tes placards. C’est un processus centré sur des choix conscients et délibérés, l’auto-évaluation constante, la recherche de l’équilibre et l’élimination des distractions.

C’est se concentrer uniquement sur ce dont nous avons besoin, vraiment besoin, et cela entraîne des bénéfices tels que :

• Une plus grande ingéniosité et créativité
• Amélioration de la clarté et de la confiance dans la prise de décision
• Réduction du stress et l’amélioration de la satisfaction de ce qu’on vit
• Meilleure gestion du temps
• Flux de travail et processus de travail améliorés

Et sûrement encore d’autres que je n’ai pas encore expérimentés !

Je te laisse ici et te dis à bientôt pour de nouvelles aventures !

Avec mon amitié,

Sarah

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